Sinal Fechado
Sinal Fechado: Enfants des rues au Brésil
Nous soutenons Sinal Fechado au centre de Salvador. Sinal Fechado est une maison qui accueille des enfants et adolescents qui trainent dans les rues. Le but est d’améliorer leur estime de soi, de les stimuler à l’aide d’activités créatives, de les aider dans leur questionnements et de les orienter pour des questions spécifiques relatives à la sexualité et à la drogue.
Si nécessaire un contact avec les parents est rétabli pour les raccompagner vers leur cercle familial et pour s’assurer qu’ils continuent leur scolarité. La maison est ouverte de 8h à 17h.
Résultats: Dans la plupart des cas nous accueillons des enfants et adolescents de la périphérie de Salvador, dont les parent travaillent dans un marché informel, et qui viennent dans le centre pour essayer de gagner un peu d’argent et de pouvoir aider leur famille. Nous accueillons également des enfants qui vivent déjà en ville mais qui sont dans une situation à risque, des enfants de familles qui vivent en marge de la société (prostituées, drogués). Nous aidons environ 60 enfants. Les enfants qui viennent au projet participent à des activités, tandis que l’autre groupe va à l’école. Un des objectifs du projet Sinal Fechado est de créer un lien entre le projet, les enfants scolarisés et les parents.
Les activités sont: art, éducation, dynamique de groupe, ateliers de lecture et d’écriture, raconter des histoires, projeter des films éducatifs, discussions sur l’environnement et la cohabitation. Le lundi et le mercredi il y a aussi de la Capoeira par Mestre René. Son académie est dans la même rue que le projet Sinal Fechado. Certains enfants et adolescents participent aux cours du soir sur invitation de Mestre René parce qu’ils ont de bons résultats. Les parents prennent la responsabilité de déposer et de rechercher les enfants.
En 2017, nous avons approché un projet similaire pour filles (Ruas da Bahia), qui se trouve quelques maisons plus loin.
Pays: Brésil
Responsable en Belgique : Mark Bolsens, en collaboration avec André Bilsen